jeudi 30 novembre 2006

30 novembre 2006 (Note importante)

Vous aurez remarqué que souvent la date de publication différait de la date annoncée dans le titre de l'article. La raison en est bien simple: je manque parfois de temps pour finir mes articles en une soirée. La date annoncée est la date de l'évènement et la date de publication et bien...est la date de publication de l'article.

En espérant vous avoir éclaicis.

FredK

28 novembre 2006 (Critique du Trône de Fer)

Je vous l'avais mentionné dans mon court article sur le salon du livre (paru le 16 novembre 2006) : le Trône de Fer, premier tome de la série du même nom, de Georges R. R. Martin. Eh bien je l'ai fini dans la soirée du 28.

J'ai adoré ce livre. En bref, c'est l'histoire d'un royaume dont la dynastie rêgnante, celle des Targaryen, a été renversée à la faveur d'une révolution. La nouvelle famille rêgnante, celle des Baratheon, s'appuie sur un pouvoir bien fragile: l'autre grande famille du pays, qui est aussi celle de la reine, les Lannister, cherchent à s'emparer du pouvoir à force de complots et d'intrigues. D'un autre côté, les Targaryen en exil tentent de monter une armée pour reconquérir le trône et finalement, les barbares du nord sont de plus en plus actifs au délà du mur qui protège le royaume.

Le roi Robert Baratheon fait alors appel à son vieil ami Eddard Stark, gouverneur du Nord, pour qu'il prenne place à ses côtés en temps que Main du Roi*. Il espère qu'il pourra ainsi raffermir le pouvoir royal et élucider le mystère de l'assassinat de l'ancienne Main du Roi.

L'intrigue, ou plutôt les intrigues, sont poussées et totalement imprévisibles. En effet, lorsque j'ai lu le livre, je ne pouvais pas voir plus loin dans l'enquête que le personnage Eddard Stark qui s'en charge. Les histoires de familles sont quelques peu mélangeantes mais on s'adapte très rapidement. L'auteur divise l'histoire de manière à ce que l'on passe d'un personnage à l'autre. J'ai trouvé le concept bien intéressant puisque chaque fin de chapitre me laissait en plein milieu de l'action. J'aurais pu trouver cela frustrant mais comme on retombe aussitôt dans l'action avec un autre personnage, la transition se fait sans mal.

Le démarrage n'est pas trop lent pour la taille du livre, 477 pages, quoique tout ce qui se passe avant l'élément déclencheur est essentiel pour la mise en place du reste de l'histoire, le livre est sans longueurs mais la fin est définitivement frustrante. En effet, l'auteur a fini son livre comme ses chapitres : en plein milieu de l'action. Sinon les personnages peuvent mourrir, si si pas comme dans certains romans où les héros ne meurent jamais, et cela ajoute au réalisme de l'histoire.

Note 9/10





*La Main du Roi est, comme son nom l'indique, un personnage qui gère le royaume et s'occupe de tout ce dont le roi ne peut s'occuper pour diverses raisons. En deux mots: c'est le second homme du pays.

jeudi 16 novembre 2006

16 novembre 2006 (Salon du Livre)

En deux mots : C'était plutôt bien comme journée.

En plusieurs mots : Mes deux premiers cours étaient Histoire, où on nous a présenté l'agence de presse MITIC, http://www.programmemitic.com, et Français, où nous a montré comment fonctionnait Blogger, http://www.blogger.com. Après une matinée très relaxe et un bon repas, hum des cannellonis, je suis allé au salon du livre.

Mes achats? Le dernier rayon du soleil du Guy Gavriel Kay, dont j'avais déjà lu La mosaïque Sarantine, Le trône de fer de George R. R. Martin, qu'un ami m'avait vivement conseillé, et finalement La fin des dieux de Bryan Perro. J'ai aussi repéré d'autres ouvrages soit Les chevaliers du Temple de Jack Whyte, L'état voyou de William Blum, livre qui a d'allieurs le meilleur résumé de quatrième de couverture que je n'ai jamais lu, et Coucou c'est Tesla/L'énergie libre fait par un collectif d'auteurs et publié aux éditons Félix.

Comme vous avez peut-être remarqué, je suis un grand amateur de style Fantasy. J'aime aussi les romans historiques comme Les Pilliers de la Terre de Ken Follett, mon livre préféré, Les Misérables de Victor Hugo, honte à ceux qui se contentent de la version abrégée, et Le comte de Monte-Cristo d'Alexandre Dumas. Je dois ajouter que j'ai lu une bonne dizaine de Jules Verne.

Bon voici pour la chronique littéraire.

Le reste de ma journée consiste en un retour en train et une marche sous la pluie, quel temps de chien n'est-ce pas?, ainsi qu'un souper de pâté chinois (on ne peut pas tout avoir dans la même journée).