Après un an de vieille somnelente,
Convalescence de l'esprit et du corps,
La lente purge des humeurs maussades et miséreuses,
Expie le cynisme, la fatigue et la confusion.
Les yeux fermés pendant la tempête,
Pour mieux entendre par dessus le tumulte,
Décoder et analyser l'ouragan,
Pour savoir quels moulins son vent allait frapper.
Les yeux ouverts dans le silence des petites heures,
Contemplant les échos du vide stellaire,
Les semelles frappant le ciment froid,
Étant le seul signe que la vie continue.
Tout cela est bien fini : le cadran sonne,
Et pour une fois, je n'ai même pas envie de l'ignorer.
;)
FredK7
samedi 28 juillet 2012
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