Eh non, nous ne sommes pas morts!*
Nous avons étés inacitfs pendant un certain temps à cause des raisons diverses. Notamment le fait que tout le monde n'avait pas fini d'écrire son texte sur la Création du Monde. Ceci dit, nous avons eu plusieurs discutions sur la publication de nos billets et nous avons décidé de placer une date butoir afin de passer à autre chose**. De plus, nous aurons à partir de maitenant une rencontre tous les mardi midis afin de discuter des différents messages publiés et des futurs sujets. Nous avons aussi dorénavent, ou cela sera fait dans peu de temps, un lien direct sur le site de l'Agence de Presse MITIC. Finalement, les textes revus et corrigés seront publiés sur le blog central Délices et Délires Académiques.
Eh non cher(es) lecteur(trices) nous ne vous abandonnons pas!
*Ou on me cache des choses bien importantes et qui me concernent...
*Parce que le monde est bien créé puisque l'on a changé d'année
lundi 19 février 2007
19 février 2007 (Version abrégée ou intégrale : que choisir?)
Il arrive bien souvent, que cela soit dans le contexte scolaire ou tout simplement à la maison, que l'on soit confronté à faire ce choix. Dans ce cas, le lecteur osille souvent entre deux arguments, la longeur du texte à lire penchant dans le sens de la version abrégée et la peur de passer à côté de quelque chose influant l'option de la version intégrale.
Dans mon cas, en secondaire 2 et 3, j'ai choisi comme romans facultatifs Les Misérables et Le comte de Monte-Cristo. La version intégrale de chaque histoire avait deux tomes de 600 pages. Je n'étais pas tout à fait conscient de la tâche qui m'attendait en me rendant à la librairie mais je ne regrette pas mon choix. En effet, j'avais un ami qui lui lisait les versions abrégées et, dans le cas des Misérables, il a trouvé que l'histoire manquait d'action et de contenu. Je lui ai alors demandé ce qu'il pensait des passages traitant de l'ambiance et du contexte de l'action. Il a alors arqué un sourci en disant : "De quoi tu parles?"
Selon moi, pour qu'un livre soit bon, qu'on ait envie de le lire, de voir ce qui va se passer et d'avoir de la misère a arrêter de le lire, il faut qu'il nous happe dans son atmosphère, que l'on arrive à se mettre à la place des personnages, que l'on ressente ce qu'ils ressentent et que l'on rit, que l'on pleure, que l'on soit scandalisés avec eux. La version abrégée, ne gardant que les parties du livre les plus importantes afin de pouvoir suivre le déroulement de l'histoire, escamote totallement cet aspect.
C'est pourquoi je recommande à tous et à toutes de choisir les versions intégrales pour ne pas passer à côté d'un grand évènement auquel vous ne pourrez plus goûter une fois que vous aurez lu la version abrégée.
FredK
Dans mon cas, en secondaire 2 et 3, j'ai choisi comme romans facultatifs Les Misérables et Le comte de Monte-Cristo. La version intégrale de chaque histoire avait deux tomes de 600 pages. Je n'étais pas tout à fait conscient de la tâche qui m'attendait en me rendant à la librairie mais je ne regrette pas mon choix. En effet, j'avais un ami qui lui lisait les versions abrégées et, dans le cas des Misérables, il a trouvé que l'histoire manquait d'action et de contenu. Je lui ai alors demandé ce qu'il pensait des passages traitant de l'ambiance et du contexte de l'action. Il a alors arqué un sourci en disant : "De quoi tu parles?"
Selon moi, pour qu'un livre soit bon, qu'on ait envie de le lire, de voir ce qui va se passer et d'avoir de la misère a arrêter de le lire, il faut qu'il nous happe dans son atmosphère, que l'on arrive à se mettre à la place des personnages, que l'on ressente ce qu'ils ressentent et que l'on rit, que l'on pleure, que l'on soit scandalisés avec eux. La version abrégée, ne gardant que les parties du livre les plus importantes afin de pouvoir suivre le déroulement de l'histoire, escamote totallement cet aspect.
C'est pourquoi je recommande à tous et à toutes de choisir les versions intégrales pour ne pas passer à côté d'un grand évènement auquel vous ne pourrez plus goûter une fois que vous aurez lu la version abrégée.
FredK
La saga d'Autrans (8 de 8)
Les billets ont d'abord été écris sur le site de l'agence de presse MITIC, d'où le décalage des dates.
________________________________
Autrans, 13 janvier 2007, heure locale 9h27
Ceci est très probablement mon dernier billet en provenance de France. Nous revenons à Paris cet après-midi après avoir pris un lunch pour déjeuner et je n'ai pas eu accès à Internet lors de notre dernier séjour. Nous nous sommes couchés tard après le dîner de gala et nous nous sommes levés de bonne heure comme d'habitude. Résultat, je vais dormir dans le train. Ici c'est calme, les conférences sont pour la plupart terminées et les gens bavardent.
Nous allons prendre l'avion pour le Québec lundi le 15 janvier à 9h30 et nous allons arriver la même date à 10h30. Bizarre non? Je sais que c'est normal mais ça doit faire drôle de passer cinq dans un avion et que ça ne dure qu'une heure sur ma montre. Peut-être est-ce la clé du voyage dans le temps...
Je suis bien heureux d'avoir pu vivre cette belle expérience et (message subtil) si c'était à refaire, je le referais autant de fois qu'il le faudrait. Et deux fois plutôt qu'une.
À bientôt,
FredK
________________________________
Autrans, 13 janvier 2007, heure locale 9h27
Ceci est très probablement mon dernier billet en provenance de France. Nous revenons à Paris cet après-midi après avoir pris un lunch pour déjeuner et je n'ai pas eu accès à Internet lors de notre dernier séjour. Nous nous sommes couchés tard après le dîner de gala et nous nous sommes levés de bonne heure comme d'habitude. Résultat, je vais dormir dans le train. Ici c'est calme, les conférences sont pour la plupart terminées et les gens bavardent.
Nous allons prendre l'avion pour le Québec lundi le 15 janvier à 9h30 et nous allons arriver la même date à 10h30. Bizarre non? Je sais que c'est normal mais ça doit faire drôle de passer cinq dans un avion et que ça ne dure qu'une heure sur ma montre. Peut-être est-ce la clé du voyage dans le temps...
Je suis bien heureux d'avoir pu vivre cette belle expérience et (message subtil) si c'était à refaire, je le referais autant de fois qu'il le faudrait. Et deux fois plutôt qu'une.
À bientôt,
FredK
La saga d'Autrans (7 de 8)
Les billets ont d'abord été écris sur le site de l'agence de presse MITIC, d'où le décalage des dates.
________________________________
J'ai assisté à un atelier ayant pour titre : Les génération Internet : comment inventer une véritable économie? Quelques-uns de mes collègues et moi-même avons été invités à prendre part à cette discussion. J'ai surtout aimé deux choses dans cet atelier : le fait que ce soit un dialogue et non un débat et le fait que l'on puisse participer activement. Nous avons discuté de notre futur emploi et de notre perception de celui-ci. Nous avons discuté de ce qu'était la réalité des jeunes entrepreneurs, de l'importance d'établir un réseau de contacts et de demander de l'aide lorsqu'on en a besoin même si on doit mettre son amour-propre de côté.La discussion a ensuite dérivé sur le sujet de l'intégration des TIC dans les écoles. Nous avons appris que les étudiants français du lycée ou du collège utilisent à peine l'informatique et que notre programme MITIC a un équivalent universitaire en France dont les étudiants sont plus ou moins à notre niveau. Selon les personnes présentes, cela est dû au conservatisme des enseignants qui ne peuvent imaginer intégrer les TIC dans leurs cours puisqu'ils n'y comprennent rien et que cela serait trop compliqué. J'ajoute, à titre personnel, que je suppose que certains enseignants ne supportent pas l'idée que les élèves seraient plus compétents avec l'outil Internet et l'ordinateur qu'eux-mêmes et qu'ils pourraient, oh coup dur, leur montrer des choses voir les aider.
Cela dit, l'atelier était bien intéressant. Nous avons aussi été questionnés sur notre voyage et ses circonstances. Ceci nous a amené à parler de nos autres voyages organisés ou encadrés par l'école. Comme vous pouvez le constater, il n'est pas tout à fait faux de dire que nous avons été le centre de la discussion plus encore que le sujet de l'atelier.
FredK
La saga d'Autrans (6 de 8)
Les billets ont d'abord été écris sur le site de l'agence de presse MITIC, d'où le décalage des dates.
________________________________
La démocratie participative
Je viens d’assister à une table ronde magistrale ayant pour thème l’apport d’Internet à la démocratie participative. Six participants étaient présents plus l’animatrice Véronique Kleck.
Présents autour de la table : deux jeunes qui s’occupaient d’un blog, le très populaire Bondy Blog, ayant été créé par deux journalistes suisses qui ont couvert les émeutes de l’an dernier dans la banlieue parisienne. Ces journalistes publiaient leurs articles sur le blog et il a été tellement populaire que lorsque les émeutes ont pris fin, les journalistes ont cédé leur site à des jeunes qui l’utilisent afin de débattre des différents problèmes de la banlieue.
Était présent aussi Pierre Abruzzini de « des mots des couleurs » un site web qui suit plusieurs jeunes impliqués dans la politique dans différents partis au niveau de leur cheminement. C’est très intéressant parce que les reportages représentent vraiment les points de vue et les valeurs de la génération. On y constate aussi que l’utilisation d’Internet par les jeunes militants permet de leur faire gagner bien des appuis qui leur permettent de progresser bien plus rapidement au niveau de la structure hiérarchique du parti et de dépasser des membres seniors qui n’utilisaient pas cet outil.
Éric Walter, du cabinet de Nicolas Sarkozy, a tenté d’expliquer à quel point le média d’Internet pouvait être puissant comme outil de publication pour les partis politiques car il n’y a aucune limite. En effet, n’importe qui peut écrire n’importe quoi, n’importe où, n’importe comment et surtout autant de fois qu’il le veut ce qui est carrément impossible à faire dans n’importe quel autre média. Ce qui pose aussi le problème que certains peuvent s’exprimer beaucoup plus que d’autres puisqu’il n’y a pas, comme à la chambres des députés, de temps de parole équitable pour tous.
Aziz Ridouan nous a très bien expliqué comment l’Internet pouvait altérer un débat parlementaire. Les Internautes pouvaient réagir immédiatement aux différents arguments et envoyer leurs commentaires sur le Net sur des forums de discussions, sur des blogs ou par courriels à leurs députés. Ceux-ci ont littéralement étés inondés d’informations parmi lesquelles ils ont choisis des arguments qu’ils ont utilisés, rendant le débat encore plus intéressant et impliquant encore plus le public.
Thierry Crouzet a expliqué que la démocratie participative est un consensus d’un groupe de citoyens qui décide d’agir sans passer par le gouvernement. L’initiative de la population sans autre stimulation à agir que leur propre conscience est, selon lui, la vraie forme de la démocratie participative. Il met aussi l’accent sur l’importance d’agir et de passer moins de temps en vains débats. « Il faut que les citoyens agissent et se consultent ensuite pour savoir s’ils ont bien agit. Pas se consulter pendant une éternité avant d’agir, ou de se rendre compte qu’on a discuté pour rien. »
J’ai A-D-O-R-É cette présentation et je vous encourage très fortement à prendre le temps de la visionner. Cliquez sur le lien http://www.webcastors.net/autrans/ puis cliquez sur La démocratie participative aux regards des générations internet dans le menu à droite pour regarder la conférence.
FredK
________________________________
La démocratie participative
Je viens d’assister à une table ronde magistrale ayant pour thème l’apport d’Internet à la démocratie participative. Six participants étaient présents plus l’animatrice Véronique Kleck.
Présents autour de la table : deux jeunes qui s’occupaient d’un blog, le très populaire Bondy Blog, ayant été créé par deux journalistes suisses qui ont couvert les émeutes de l’an dernier dans la banlieue parisienne. Ces journalistes publiaient leurs articles sur le blog et il a été tellement populaire que lorsque les émeutes ont pris fin, les journalistes ont cédé leur site à des jeunes qui l’utilisent afin de débattre des différents problèmes de la banlieue.
Était présent aussi Pierre Abruzzini de « des mots des couleurs » un site web qui suit plusieurs jeunes impliqués dans la politique dans différents partis au niveau de leur cheminement. C’est très intéressant parce que les reportages représentent vraiment les points de vue et les valeurs de la génération. On y constate aussi que l’utilisation d’Internet par les jeunes militants permet de leur faire gagner bien des appuis qui leur permettent de progresser bien plus rapidement au niveau de la structure hiérarchique du parti et de dépasser des membres seniors qui n’utilisaient pas cet outil.
Éric Walter, du cabinet de Nicolas Sarkozy, a tenté d’expliquer à quel point le média d’Internet pouvait être puissant comme outil de publication pour les partis politiques car il n’y a aucune limite. En effet, n’importe qui peut écrire n’importe quoi, n’importe où, n’importe comment et surtout autant de fois qu’il le veut ce qui est carrément impossible à faire dans n’importe quel autre média. Ce qui pose aussi le problème que certains peuvent s’exprimer beaucoup plus que d’autres puisqu’il n’y a pas, comme à la chambres des députés, de temps de parole équitable pour tous.
Aziz Ridouan nous a très bien expliqué comment l’Internet pouvait altérer un débat parlementaire. Les Internautes pouvaient réagir immédiatement aux différents arguments et envoyer leurs commentaires sur le Net sur des forums de discussions, sur des blogs ou par courriels à leurs députés. Ceux-ci ont littéralement étés inondés d’informations parmi lesquelles ils ont choisis des arguments qu’ils ont utilisés, rendant le débat encore plus intéressant et impliquant encore plus le public.
Thierry Crouzet a expliqué que la démocratie participative est un consensus d’un groupe de citoyens qui décide d’agir sans passer par le gouvernement. L’initiative de la population sans autre stimulation à agir que leur propre conscience est, selon lui, la vraie forme de la démocratie participative. Il met aussi l’accent sur l’importance d’agir et de passer moins de temps en vains débats. « Il faut que les citoyens agissent et se consultent ensuite pour savoir s’ils ont bien agit. Pas se consulter pendant une éternité avant d’agir, ou de se rendre compte qu’on a discuté pour rien. »
J’ai A-D-O-R-É cette présentation et je vous encourage très fortement à prendre le temps de la visionner. Cliquez sur le lien http://www.webcastors.net/autrans/ puis cliquez sur La démocratie participative aux regards des générations internet dans le menu à droite pour regarder la conférence.
FredK
La saga d'Autrans (5 de 8)
Les billets ont d'abord été écris sur le site de l'agence de presse MITIC, d'où le décalage des dates.
________________________________
Bonjour à tous,
Vous trouverez des informations complémentaires aux présentations des jeunes canadiens du jeudi 11 janvier en navigant sur les sites suivants :
Sur le blog de Mario Asselin : http://carnets.opossum.ca/mario/archives/tags/autrans_2007/
Sur celui de Roberto Gauvin du CAHM du N.-B. : http://carnets.opossum.ca/roberto/
Sur ceux des deux élèves du CAHM : Megan http://cahm.elg.ca/public/MeganOuellette/ et Marc-André http://cahm.elg.ca/public/Marc-AndreBoutot/
Sur l'Atlas du Collège Saint-Charles-Garnier du QC : http://atlas.opossum.ca/france//archives/voyage_a_autrans/
Sur celui des deux élèves de Rochebelle :
Dominick http://carnet.csdecou.qc.ca/public/ouedom/
et Louis-Étienne http://carnet.csdecou.qc.ca/public/foylou/
Et sur les cyberportfolios de deux élèves de l'Institut St-Joseph :
Philippe http://cyberportfolio.st-joseph.qc.ca/public/brophi/
et Julien http://cyberportfolio.st-joseph.qc.ca/public/foujul/
________________________________
Bonjour à tous,
Vous trouverez des informations complémentaires aux présentations des jeunes canadiens du jeudi 11 janvier en navigant sur les sites suivants :
Sur le blog de Mario Asselin : http://carnets.opossum.ca/mario/archives/tags/autrans_2007/
Sur celui de Roberto Gauvin du CAHM du N.-B. : http://carnets.opossum.ca/roberto/
Sur ceux des deux élèves du CAHM : Megan http://cahm.elg.ca/public/MeganOuellette/ et Marc-André http://cahm.elg.ca/public/Marc-AndreBoutot/
Sur l'Atlas du Collège Saint-Charles-Garnier du QC : http://atlas.opossum.ca/france//archives/voyage_a_autrans/
Sur celui des deux élèves de Rochebelle :
Dominick http://carnet.csdecou.qc.ca/public/ouedom/
et Louis-Étienne http://carnet.csdecou.qc.ca/public/foylou/
Et sur les cyberportfolios de deux élèves de l'Institut St-Joseph :
Philippe http://cyberportfolio.st-joseph.qc.ca/public/brophi/
et Julien http://cyberportfolio.st-joseph.qc.ca/public/foujul/
La saga d'Autrans (4 de 8)
Les billets ont d'abord été écris sur le site de l'agence de presse MITIC, d'où le décalage des dates.
________________________________
Autrans, 11 janvier 2007, heure locale 16h09
La présentation est terminée. Tout s’est passé à merveille. À vrai dire, le seul problème que j’ai eu a été un simple problème de connexion entre mon ordinateur et l’écran, dû au fait d’une erreur dans l’ordre de présentation, ce qui a fait que le public n’a pas vu mes deux premières diapositives quoique je puisse les voir sur mon portable.
Avis aux intéressés : j’ai actualisé le lien vers ma présentation PowerPoint dans mon billet « Présentation du programme MITIC à Rencontres d’Autrans 2007 » car il y a eu quelques modifications.
La suite de la conférence a été donnée par le représentant d’une firme suédoise qui nous a présenté une analyse de la « génération Internet ». L’analyse, en Anglais et traduite par une interprète, est extrêmement intéressante car elle est, de mon avis, très représentative. Je vous conseille très fortement de prendre le temps de l’écouter. Elle sera disponible prochainement sur le site du Centre d’Apprentissage du Haut-Madawaska en format son uniquement. La trame sonore des présentations des étudiants sera aussi disponible sur ce site.
http://cahm.elg.ca/
Le vidéo de la présentation des 9 étudiants est disponible sur ce lien : http://webcastors.net/autrans/ Cliquez sur Ouverture Autrans 2007 pour visionner les présentations.
Nous sommes fait assaillir par les journalistes, hum, et nous avons dû se sauver pour aller déjeuner. Nous sommes revenus deux heures plus tard en passant par la mairie, où on nous a présenté la région d’Autrans et un peu de son histoire.
À la prochaine,
FredK
________________________________
Autrans, 11 janvier 2007, heure locale 16h09
La présentation est terminée. Tout s’est passé à merveille. À vrai dire, le seul problème que j’ai eu a été un simple problème de connexion entre mon ordinateur et l’écran, dû au fait d’une erreur dans l’ordre de présentation, ce qui a fait que le public n’a pas vu mes deux premières diapositives quoique je puisse les voir sur mon portable.
Avis aux intéressés : j’ai actualisé le lien vers ma présentation PowerPoint dans mon billet « Présentation du programme MITIC à Rencontres d’Autrans 2007 » car il y a eu quelques modifications.
La suite de la conférence a été donnée par le représentant d’une firme suédoise qui nous a présenté une analyse de la « génération Internet ». L’analyse, en Anglais et traduite par une interprète, est extrêmement intéressante car elle est, de mon avis, très représentative. Je vous conseille très fortement de prendre le temps de l’écouter. Elle sera disponible prochainement sur le site du Centre d’Apprentissage du Haut-Madawaska en format son uniquement. La trame sonore des présentations des étudiants sera aussi disponible sur ce site.
http://cahm.elg.ca/
Le vidéo de la présentation des 9 étudiants est disponible sur ce lien : http://webcastors.net/autrans/ Cliquez sur Ouverture Autrans 2007 pour visionner les présentations.
Nous sommes fait assaillir par les journalistes, hum, et nous avons dû se sauver pour aller déjeuner. Nous sommes revenus deux heures plus tard en passant par la mairie, où on nous a présenté la région d’Autrans et un peu de son histoire.
À la prochaine,
FredK
La saga d'Autrans (3 de 8)
Les billets ont d'abord été écris sur le site de l'agence de presse MITIC, d'où le décalage des dates.
________________________________
Autrans, 11 janvier 2007, heure locale 9h08
Bonjour tout le monde !
La deuxième journée a été bien remplie. Nous avons commencé par prendre une marche dans le quartier St-Germain jusqu'à la cathédrale Notre-Dame. Nous avons vu la conciergerie, être concierge à Paris ça doit être payant, et l'endroit où on a décapité Marie-Antoinette. Après cela, nous sommes entrés dans la cathédrale. On m'avait dit que c'était grand et froid. Rectification : c'est gigantesque et ils ont mis des lumières de façon à ce que les murs ne paraissent pas grands et vides. J’ai bien aimé la visite, surtout le fait que quelqu’un d’autre s’est perdu donc je ne me sentais plus seul.
Nous sommes revenus à l’hôtel pour prendre nos bagages puis nous sommes partis prendre le train à la gare de Lyon. J’ai goûté à la superbe baguette française. Une chance que j’aime la baguette parce qu’ils en mangent autant que ma mère mange de la salade (constamment). En parlant de la nourriture, savez-vous que mourir de faim en France est carrément impossible? Les portions sont énormes ! Il va vraiment falloir que l’on fasse du ski…
Le voyage en TGV s’est très bien passé. Nous avons constaté que si deux trains d’une douzaine de wagons se croisent à grande vitesse, ils ne restent à la même hauteur que deux secondes. Nous avons pris l’autocar de Grenoble à Autrans et le reste de la soirée a été utilisée afin de s’installer. Le dîner a été très québécois puisque on s’est mit à table à 18h et que on a quitté le restaurant à la fermeture soit 00h00. Remarque : les français, eux, sont très discrets à table on s’est À PEINE sentis dévisagés…
J’ai bien dormi même si mon compagnon de chambre ronflait, je vais faire ma présentation du programme MITIC dans quelques instants. Je vous enverrai un autre billet.
FredK
________________________________
Autrans, 11 janvier 2007, heure locale 9h08
Bonjour tout le monde !
La deuxième journée a été bien remplie. Nous avons commencé par prendre une marche dans le quartier St-Germain jusqu'à la cathédrale Notre-Dame. Nous avons vu la conciergerie, être concierge à Paris ça doit être payant, et l'endroit où on a décapité Marie-Antoinette. Après cela, nous sommes entrés dans la cathédrale. On m'avait dit que c'était grand et froid. Rectification : c'est gigantesque et ils ont mis des lumières de façon à ce que les murs ne paraissent pas grands et vides. J’ai bien aimé la visite, surtout le fait que quelqu’un d’autre s’est perdu donc je ne me sentais plus seul.
Nous sommes revenus à l’hôtel pour prendre nos bagages puis nous sommes partis prendre le train à la gare de Lyon. J’ai goûté à la superbe baguette française. Une chance que j’aime la baguette parce qu’ils en mangent autant que ma mère mange de la salade (constamment). En parlant de la nourriture, savez-vous que mourir de faim en France est carrément impossible? Les portions sont énormes ! Il va vraiment falloir que l’on fasse du ski…
Le voyage en TGV s’est très bien passé. Nous avons constaté que si deux trains d’une douzaine de wagons se croisent à grande vitesse, ils ne restent à la même hauteur que deux secondes. Nous avons pris l’autocar de Grenoble à Autrans et le reste de la soirée a été utilisée afin de s’installer. Le dîner a été très québécois puisque on s’est mit à table à 18h et que on a quitté le restaurant à la fermeture soit 00h00. Remarque : les français, eux, sont très discrets à table on s’est À PEINE sentis dévisagés…
J’ai bien dormi même si mon compagnon de chambre ronflait, je vais faire ma présentation du programme MITIC dans quelques instants. Je vous enverrai un autre billet.
FredK
S'abonner à :
Messages (Atom)